Témoignage d'entreprise: le 2e pilier comme levier pour les ressources humaines

eeproperty raconte en quoi le deuxième pilier est un atout pour conserver et attirer les talents

eeproperty tient à simplifier la gestion des ressources communes dans un immeuble pour toutes les parties prenantes. De la buanderie aux bornes de recharge pour voitures électriques, la société vaudoise développe des solutions utiles aux locataires, aux concierges et autres propriétaires. Après une levée récente de fonds, elle grandit. Parmi les défis liés à cette croissance, le recrutement de nouvelles forces vives figure en bonne place. Pour les attirer, l'entreprise a pris un certain nombre de mesures, dont la révision de son plan de prévoyance professionnelle. Rencontre avec Céline Borgeaud, COO, et Dani Pinto Caseiro, CFO d'eeproperty.

 

 

 

 

 

2e pilier: les espérances de rendement partent à la hausse

« Mon vœu est que les salariées et les salariés prennent conscience des messages de la communauté de la prévoyance et qu’ils deviendront acteurs de leur prévoyance.»

 

Francis Bouvier s’exprime sur les tendances des grands paramètres de la prévoyance.

Découvrez ses propos en interview.

Interview de Catherine Vogt, nouvelle présidente du Conseil de fondation d'AVENA

«Mon rôle? Être un trait d’union entre les parties prenantes d’AVENA»

Catherine Vogt succède à Alexandre Pahud à la présidence du Conseil de fondation d’AVENA. Confirmée lors des élections de l’automne 2023, elle a été nommée à la tête de l’organe faîtier de la caisse. Faites connaissance avec la nouvelle présidente à l’aube de son mandat.

 

Chiffres clés AVENA au 31.12.2023

Résultats financiers 2023.

AVENA boucle l’exercice avec un degré de couverture de 104% (non-audité) et un rendement de 4.55%.

Son bilan est ainsi porté à CHF 2.627 milliards.

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Placements de la Fondation au 30.11.2023

Les placements de la Fondation

  

Répartition des placements au 30.11.2023

La situation du portefeuille reflète la nouvelle allocation stratégique qui est entrée en vigueur le 01.01.2023.

Performance des classes d’actifs au 30.11.2023 (%)

 

Performance nette 30.11.2023

Son ombre planait sur l’économie mondiale en début d’année. Une récession, même légère, semblait inévitable à la suite du retour de l’inflation dès 2021 et de la forte hausse des taux dès 2022. Or, en 2023, ce risque n’a cessé d’être repoussé. La croissance a résisté, mais de manière inégale selon les régions.

L’année boursière s’est ainsi déroulée en trois tableaux aux ambiances fort différentes. Soulagement en début d’exercice, les marchés se sont peu à peu délestés du fardeau qui les avait entravés en 2022. Les risques systémiques se sont éloignés. Les statistiques économiques ont rassuré quant à l’état de santé de l’économie américaine, qui allait, au fil de l’année, s’imposer comme la locomotive de l’activité mondiale.

En Europe, les risques de crise énergétique se sont envolés. Par ailleurs, alors que l’on craignait une contagion à large échelle de la crise des banques régionales américaines, l’intervention des autorités l’a circonscrite. Ou presque. Puisque la Suisse a vécu un traumatisme national avec l’absorption de Crédit Suisse par UBS.

À l’arrivée des beaux jours, Un concept s’est imposé: nous entrons dans une ère de taux plus élevés pour plus longtemps qu’escompté. Alors, les taux longs se sont envolés, dépassant même 5% aux États-Unis, au grand dam des investisseurs et des investisseuses qui ont vécu un mois d’octobre profondément rouge.

Alors que la fin de l’année approche, bien que les tensions géopolitiques aient resurgi sur le devant de la scène, les marchés se sont détendus. Les raisons ? L’inflation a poursuivi son recul. Les Banques centrales ont mis leur resserrement monétaire en pause prolongée. Et tant le pétrole que les taux longs se sont assagis. Au-delà des drames humains, les marchés n’ont pas évalué la guerre au Proche-Orient comme représentant un risque systémique, ils n’ont en effet pas noté de régionalisation du conflit ni de forte hausse du prix du pétrole.

Ainsi, sous l’angle boursier, 2023 s’est finalement présentée en miroir à 2022. Les principales classes d’actifs ont rebondi. Des écarts importants caractérisent les performances des indices régionaux des actions. Si les États-Unis caracolent en tête (+19%), les pays émergents – surtout le Sud-Est asiatique (+0.8%) – n’ont pas vécu le sursaut espéré après la fin de la politique zéro COVID en Chine. Entre deux, les actions suisses ont réalisé un parcours en demi-teinte. L’indice SPI (+3.7%) a notamment été pénalisé par ses grandes capitalisations, l’affaiblissement de la croissance mondiale et la force du franc.

Les obligations ont confirmé leur retour (SBI AAA-BBB +6%)-  Le krach de 2022 était bel et bien exceptionnel. La décrue de l’inflation a convaincu les marchés que la fin de la hausse des taux approchait, augurant d’un environnement plus porteur pour cette classe d’actifs.

Dans ce contexte, le portefeuille d’AVENA affiche une performance nette de +2.81%.