Chiffres clés AVENA au 31.12.2024

Résultats financiers 2024
AVENA boucle l’exercice avec un degré de couverture de 109.1% (non-audité) et un rendement de 7.92%.
Son bilan est ainsi porté à CHF 2.9 milliards.
Résultats financiers 2024
AVENA boucle l’exercice avec un degré de couverture de 109.1% (non-audité) et un rendement de 7.92%.
Son bilan est ainsi porté à CHF 2.9 milliards.
Pour l’année 2024, le Conseil de Fondation a décidé de rémunérer l’entier des capitaux d’épargne à hauteur de 3,25%, au maximum des possibilités légales, portant le taux de couverture estimé à 109,4%.
Les assurées et assurés d’AVENA bénéficient d’une rémunération nettement supérieure au taux minimal légal (1,25%), permettant ainsi d’améliorer leurs avoirs de prévoyance.
L’intérêt annuel versé par la Fondation n’est que la partie émergée de l’iceberg. Il est le fruit d’un ensemble de mesures permettant à AVENA d’assurer sa continuité.
Le Conseil de Fondation est unanimement convaincu que cette stratégie permet d’obtenir de meilleurs résultats à long terme et assurant la pérennité de la Fondation.
Nous vous invitons à découvrir le rapport annuel 2023 de la Fondation.
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Bonne lecture !
Résultats financiers 2023.
AVENA boucle l’exercice avec un degré de couverture de 104% (non-audité) et un rendement de 4.55%.
Son bilan est ainsi porté à CHF 2.627 milliards.
La situation du portefeuille reflète la nouvelle allocation stratégique qui est entrée en vigueur le 01.01.2023.
Son ombre planait sur l’économie mondiale en début d’année. Une récession, même légère, semblait inévitable à la suite du retour de l’inflation dès 2021 et de la forte hausse des taux dès 2022. Or, en 2023, ce risque n’a cessé d’être repoussé. La croissance a résisté, mais de manière inégale selon les régions.
L’année boursière s’est ainsi déroulée en trois tableaux aux ambiances fort différentes. Soulagement en début d’exercice, les marchés se sont peu à peu délestés du fardeau qui les avait entravés en 2022. Les risques systémiques se sont éloignés. Les statistiques économiques ont rassuré quant à l’état de santé de l’économie américaine, qui allait, au fil de l’année, s’imposer comme la locomotive de l’activité mondiale.
En Europe, les risques de crise énergétique se sont envolés. Par ailleurs, alors que l’on craignait une contagion à large échelle de la crise des banques régionales américaines, l’intervention des autorités l’a circonscrite. Ou presque. Puisque la Suisse a vécu un traumatisme national avec l’absorption de Crédit Suisse par UBS.
À l’arrivée des beaux jours, Un concept s’est imposé: nous entrons dans une ère de taux plus élevés pour plus longtemps qu’escompté. Alors, les taux longs se sont envolés, dépassant même 5% aux États-Unis, au grand dam des investisseurs et des investisseuses qui ont vécu un mois d’octobre profondément rouge.
Alors que la fin de l’année approche, bien que les tensions géopolitiques aient resurgi sur le devant de la scène, les marchés se sont détendus. Les raisons ? L’inflation a poursuivi son recul. Les Banques centrales ont mis leur resserrement monétaire en pause prolongée. Et tant le pétrole que les taux longs se sont assagis. Au-delà des drames humains, les marchés n’ont pas évalué la guerre au Proche-Orient comme représentant un risque systémique, ils n’ont en effet pas noté de régionalisation du conflit ni de forte hausse du prix du pétrole.
Ainsi, sous l’angle boursier, 2023 s’est finalement présentée en miroir à 2022. Les principales classes d’actifs ont rebondi. Des écarts importants caractérisent les performances des indices régionaux des actions. Si les États-Unis caracolent en tête (+19%), les pays émergents – surtout le Sud-Est asiatique (+0.8%) – n’ont pas vécu le sursaut espéré après la fin de la politique zéro COVID en Chine. Entre deux, les actions suisses ont réalisé un parcours en demi-teinte. L’indice SPI (+3.7%) a notamment été pénalisé par ses grandes capitalisations, l’affaiblissement de la croissance mondiale et la force du franc.
Les obligations ont confirmé leur retour (SBI AAA-BBB +6%)- Le krach de 2022 était bel et bien exceptionnel. La décrue de l’inflation a convaincu les marchés que la fin de la hausse des taux approchait, augurant d’un environnement plus porteur pour cette classe d’actifs.
Dans ce contexte, le portefeuille d’AVENA affiche une performance nette de +2.81%.
Le degré de couverture est supérieur à 100%.
Mesdames, Messieurs,
Le 21 septembre 2023 a eu lieu le dépouillement des résultats des votations pour le renouvellement du Conseil.
Nous avons le plaisir de vous communiquer ci-dessous les personnes élues au Conseil de fondation d'AVENA pour la législature 2024-2028:
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Dominique Blanchard VCT Vector Gestion SA Directeur |
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Giovanni Chiusano Fiduciaire Fidinter SA Administrateur-directeur |
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Yvan Henzer Libra Law SA Administrateur |
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Alexandre Pahud Fondation Michel Torche Secrétaire Général |
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François Pugliese ELITE SA CEO |
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Catherine Vogt Hesperia SA CEO |
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Bruno Chappuis Union Européenne de Radio-Télévision Senior Sports Rights Manager |
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Cosette Hausammann Protocol SA Responsable Finance et Admin. |
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Claudine Eveline Imhof Proactif ouvertures Formation Sàrl Co-responsable des formations digitales |
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Claude Rey FidAlp Audit SA Agent Fiduciaire Brevet Fédéral |
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Sylvain Rochat Hervest Fiduciaire SA Directeur - Expert fiscal diplômé |
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Delphine Saleres-Deney Garden Center Schilliger SA Directrice Administration et Finance |
Le nouveau conseil de Fondation a été présenté lors de la Biennale qui s'est tenue le mercredi 4 octobre 2023 au Musée Olympique à Lausanne.
Nous souhaitons plein succès à la nouvelle équipe pour la nouvelle législature.
Nous vous invitons à découvrir le rapport annuel 2022 de la Fondation.
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Bonne lecture !
Résultats financiers 2022.
AVENA boucle l’exercice avec un degré de couverture de 101,4% (non-audité) et un rendement de -10,11%, supérieur aux indices de référence (LPP 25 -14,06% et
LPP 40 -14,92%).
Son bilan est ainsi porté à CHF 2,5 milliards.